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Revista Médica del Uruguay

versión On-line ISSN 1688-0390

Resumen

OSIMANI, María Luz et al. Seroprevalencia para los virus de la inmunodeficiencia humana, hepatitis B y C en usuarios de drogas inyectables: Uruguay, 2003. Rev. Méd. Urug. [online]. 2005, vol.21, n.3, pp.207-214. ISSN 1688-0390.

Résumé En Uruguay, les séroprévalences des infections causées par les virus de l’immunodéficience humaine et des hépatites B et C, sont sensiblement plus élevées dans des populations à risque. Il est donc important de les connaître, ainsi que leurs possibles causes, afin de faire les interven-tions nécessaires. L’objectif de ce travail est de connaître la prévalence de ces infections chez des usagers de drogues par voie injectable, âgés de plus de 18 ans, qui habitent à Montevideo et sa banlieue en 2003; simultanément, analyser l’influence des injectables, des pratiques sexuelles et de ceratins comportements sur la prévalence de ces infec-tions. On a fait le choix de 200 individus âgés de plus de 18 ans qui avaient commencé à consommer des drogues par voie injectable après 1980. Pour ce faire, on a utilisé la technique de "boule de neige", entre octobre et décembre 2003. On a créé une étude de prévalence, en se servant d’une banque de données primaire, abordée au moyen d’une étude sérologique et d’un entretien de façon simul-tanée. On a analysé les pratiques à risque en calculant les prévalences relatives (PR) et leurs intervales de confiance de 95%. L’association statistique a été déterminée avec l’épreuve de chi carré de mantel Haenszel. Le niveau de signification statistique fixé a été de 0,10 (p< 0,10). Les prévalences trouvées ont été de 18,5 % pour virus d’immu-nodéficience humaine; 19,5% pour virus de l’hépatite B et 21,5% pour l’hépatite C; 33% a présenté une de ces infections, 15% une, 9,5% deux et 8,5% même trois. Pour toutes les infections, le fait de se piquer avec une fréquence hebdomadaire ou plus, avoir consommé pendant plus de deux ans, partager des seringues et des aiguilles, nettoyer le matériel de ponction pour le réutiliser, avoir un partenaire sexuel positif pour le virus d’immunodéficience humaine ou porteur du syndrôme d’immunodéficience acquise ou usagers de drogues injectables, et le fait d’avoir été en prison, ont été des facteurs de risque pour s’infecter. Les prévalences trouvées ont été inférieures que celles des pays de la région. Cependant, le tiers des usagers de drogues injectables sont infectés par un de ces virus, le tout accompagné de conduites de risque propres de ce collectif.

Palabras clave : SEROPREVALENCIA DE VIH; HEPATITIS B [epidemiología]; HEPATITIS C [ epidemiología]; ESTUDIOS SEROEPIDEMIOLÓGICOS; TRASTORNOS RELACIONADOS CON SUSTANCIAS; COMPARTIMIENTO DE AGUJA.

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